Bases de données et portails nationaux

Le portail FranceArchives, développé par le Service interministériel des Archives de France, permet de retrouver des millions de documents d’archives conservés dans de nombreux services d’archives publics français. Il est doté d’un moteur de recherche qui interroge simultanément les inventaires de toutes les institutions partenaires, en perpétuel accroissement. Un outil indispensable pour tous les usagers des archives !

Découvrez-y notamment la base @docs dont la vocation est d’aider les usagers des archives à se repérer dans la multitude de cas particuliers qui constitue le droit d’accès aux documents publics. Cet outil présente le régime juridique applicable par typologies documentaires.

 

De leur côté, les Archives nationales développent depuis longtemps des bases de données permettant de se repérer dans leurs fonds, notamment les plus sériels. On signalera volontiers :

  • la base Léonore qui donne accès aux dossiers nominatifs des personnes nommées ou promues dans l’Ordre national de la Légion d’honneur depuis 1802 et décédées avant 1977.
  • la base Arcade qui retrace la genèse et l’histoire des œuvres d’art acquises, commandées ou gérées par l’Etat et les collectivités territoriales de 1800 à 1969.
  • la base Archim qui propose la consultation de nombreux documents numérisés extraits de séries et de collections des Archives nationales, et regroupés sous la forme de dossiers documentaires.

 

Le ministère des Armées n’est pas en reste puisqu’il a développé le site Mémoire des hommes, qui s’est particulièrement enrichi à la faveur des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale. Il contient aujourd’hui plusieurs bases nominatives interrogeables simultanément.

 

On recommande de consulter utilement :

  • le site de l’Institut de recherche et d’histoire des textes qui recense les manuscrits médiévaux conservés en France et en permet la consultation en ligne ;
  • l’inventaire des sources fiscales d’Ancien Régime (projet “Architerre“) dressé par l’université de Toulouse II – Jean-Jaurès.